FIN D'UNE ÉPOQUE

Publié le par Monsieur Aponaute

Merveilleux blogues ! Qu'ils sentaient bon ces années 2000 que nous allons bientôt quitter ! Je viens de parcourir à la médiathèque un petit ouvrage d'un certain Nicolas Vandermachin au sujet du phénomène blogal, qui commence à avoir du plomb dans l'aile.

En cette fin de 2009, je ne daigne plus écrire, car faire de la télé est autrement plus drôle mon Oskar ! Rejoins Papa sur ANBC (wat.tv/anbc), Papa qui pense toujours autant de bien de ce peuple de sales cons qui t'a tué, et qui l'exprime toujours avec autant de douceur et de délicatesse, en ces temps où il s'interroge sur son "identité nationale". Le propre du Français ? La méchanceté. Toute l'Europe le sait depuis le XVIIIème siècle au moins.

Papa continuera donc longtemps (si Dieu lui prête vie et santé), à faire chier les cons qui se trouvent autour de lui et, heureux concours de circonstances, cela tombe bien car il sont légion.

Papa a reçu ainsi un courriel d'une de ses têtes de turcs favorites, S.O.S.-Homophobie, le genre à pas voir d'où vient le danger, alors Papa leur met les points sur les "i" qu'en penses-tu mon bébé chien ?



" Communiqué de presse SOS homophobie
• Agression d'un couple de lesbiennes dans l'Essonne : SOS homophobie se porte partie civile.
Paris, le 23 novembre 2009 - Agression d'un couple de lesbiennes dans l'Essonne : SOS homophobie se porte partie civile.
Le 2 juillet dernier, Cynthia et Priscilla, un couple de lesbiennes habitant ensemble à Epinay-sous-Sénart (Essonne), ont (sic) été agressées physiquement par quatre jeunes. Cette agression faisait suite à des insultes et menaces répétées depuis leur arrivée dans cette cité : on voulait faire partir " ces gouines " parce que " l'homosexualité, c'est péché ".
La lesbophobie au quotidien contre Cynthia et Priscilla a débuté dès le jour de leur emménagement à la cité des Gerbaux: insultes, remarques méprisantes, tags " Les gouines " sur leur immeuble… Le 2 juillet, l'agression dont elles ont été victimes a eu pour conséquences un nez fêlé pour l’une, un oeil poché et une dent abîmée pour l’autre, et quatre jours d'incapacité totale de travail pour chacune.
Leurs agresseurs ont aussitôt été interpellés, mais tous les quatre – dont trois mineurs – ont très vite été libérés. Durablement traumatisées, les deux amoureuses ont décidé de quitter le quartier ne se sentant pas en sécurité puisque leurs agresseurs avaient été relâchés.
Ce mardi 24 novembre, veille de la Journée du lutte contre les violences faites aux femmes, se tient à Evry le procès à huis-clos des trois mineurs impliqués, le majeur ayant déjà été jugé en septembre dernier. SOS homophobie s'est constituée partie civile aux côtés des victimes.
Cette affaire permet d'attirer l'attention sur les agressions dont les lesbiennes sont l'objet en France. Car, contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas seulement les gays mais également les lesbiennes qui sont victimes d'agressions physiques à caractère homophobe, dans la rue, au lycée ou dans leur voisinage.
Plusieurs faits survenus les mois passés en témoignent, confirmant les témoignages reçus par l'association sur sa ligne d'écoute anonyme :
- chassées de leur logement, Jessica et Virginie, résidant à Segré (Maine-et-Loire), l’ont également été à la mi-juin. Durant un an, une vingtaine de jeunes postés en bas de chez elles leur ont fait vivre un enfer, allant jusqu’à pointer sur elles une arme à feu.
- à Bondoufle (Essonne), début juin, c’est à visage couvert mais à mots ouverts qu’on s’en est pris à Aude et Hélène*. "Putain de lesbienne, tu pollues la rue" : cet infâme gribouillage ornait le pare-brise de leur voiture, vandalisée à plusieurs reprises.
- au parc Saint-Pierre, à Calais, le 30 mai, trois lesbiennes ont été frappées au visage en pleine rue par un homme de 25 ans, qui, pour sa défense, prétend "qu’il croyait s'en être pris à trois hommes..."
- au cœur de Metz, le 3 août, une femme de 30 ans a été bousculée puis frappée, après avoir été copieusement insultée.
- en septembre, une adolescente de 16 ans scolarisée dans un lycée d'Albi a subi un harcèlement puis une violente agression par des collégiennes parce qu'elle avait été vue échangeant un baiser avec sa petite amie.
- en novembre, toujours à Albi, un couple de lesbiennes a été violemment agressé à la sortie d'un bar après avoir été insulté : "On a vu que vous vous prenez pour des hommes, venez, on va vous sodomiser ".
Ces affaires confirment le constat établi par l'association depuis plusieurs années : les agresseurs sont le plus souvent des garçons jeunes, parfois mineurs, d'où l'urgence d'actions éducatives visant à déconstruire les préjugés sur les homosexuel-le-s."


Réponse de Papa :

Monsieur Aponaute à S.O.S.-HOMOPHOBIE -

Merci pour ce communiqué -

Mais j'aimerais que vous lui apportiez un petit complément d'information.
Sans indiscrétion, quel était le profil des "jeunes" qui ont agressé Cynthia et Priscilla ?
C'est une précision qui peut s'avérer importante, et je me méfie comme de la peste de ce vocable politiquement correct de "jeune" qui en général, cache une autre notion avec laquelle on est mal à l'aise, comme : arabo-musulman, afro-musulman, afro tout court, musulman tout court, et en général raciste europhobe, leucophobe et / ou antisémite autant que lesbophobe, quand il ne désigne pas des "jeunes" d'une quarantaine d'années (de ceux qui plairaient en Asie à Frédéric Mitterrand) à condition qu'ils délinquent.
D'où ma question toute simple : quelle était l'ethnicité, comme on dit en bon français, de vos "jeunes" ? Avez-vous leurs prénoms ? Bon, pas celui des 3 mineurs, mais au moins celui du majeur ? Vous pouvez le révéler, le prénom du majeur qui ne veut pas que les goudous pèchent même avec un majeur. Ahmed ? Mohammed ? Abdel ?
En ces temps de débat serein sur l'identité nationale, cela éclairerait ma lanterne.
Je conseillerais à Cynthia et Priscilla de choisir, autant que leurs moyens leur permettent, d'habiter un quartier mieux fréquenté. Je comprends qu'on soit gouine et qu'on veuille en découdre, mais pousser le mauvais goût jusqu'à aller bivouaquer dans une "cité" mal famée infestée de "jeunes", au lieu de s'engager dans la Police Nationale ou en Afghanistan, c'est pour une goudou militante, d'un mauvais goût achevé.

Signé: Monsieur Aponaute.

P.S.: Les seuls qui m'aient traité en 2008 de "pédé" ou qui aient rossé une "gouine" de mes amies en 2002 sont des mahométans, mais peut-être ai-je une opinion infondée des sectateurs de Mahommet et que l'Islam est une chance pour la France ou pour l'Europe ?





En fait, ce qui casse le plus les couilles à Papa, c'est le cul-cultisme complaisant, cet optimisme humaniste béat teinté de rousseauïsme que sur certains blogues (cf. supra) on taxe d'esprit "bisounours".

S.O.S. est ravagé, plus qu'empreint, de ce rousseauïsme-là qui croyait hier au bon sauvage et aujourd'hui, au bon sauvageon.

Il est patent que ces con(ne)s [/et transgenres] d'S.O.S. en sont encore là - je cite et je me pince en même temps pour croire qu'on peut vraiment lire de telles niaiseries :

"les agresseurs sont (...) des (...) jeunes, (...) mineurs, d'où l'urgence d' actions éducatives visant à déconstruire les préjugés
sur les homosexuel-le-s"

Le Var est en feu, les maisons brûlent, et ces rousseauïstes veulent "déconstruire", pourquoi pas prendre le temps de consulter le Maire pour voir si le P.O.S. permettrait de "construire" une hypothétique nouvelle citerne, et le Pdt du C.G. et l'Intérieur pour voir si sur cinq ans une nouvelle caserne de pompiers, ce ne serait pas jouable.

Alors que c'est maintenant qu'il faut agir. Sereinement, efficacement, tallionnement, israëllement. Trois arabes pour une gouine, et six musulmans pour un pédé (je suis partial, je préfère les pédés niveau baise) ; et pas au kärcher, à la kalache. On nettoie : c'est ça, l'identité nationale !

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