RECENTRAGE (FIN DÉFINITIVE)

Publié le par Monsieur Aponaute

Sir Winston Churchill, portrait officiel un matin vers 09h15,
10 Downing Street, après son 7ème whisky-soda.

 

DEVOIR DE MÉMOIRE
& REPENTANCE

 

Ben voilà-t-y pas ma Kitty que le blogue à Ponaute se lasse déjà de son recentrage précédemment programmé, et, incorrigiblement, revient à ses premières amours, pour vilipender encore et toujours, à temps et à contretemps, les crimes ignobles du bolchévisme. Il faut dire qu’il y est en quelque sorte contraint, car les moutons français continuent de bêler au diapason des veaux de ses médias, qui meuglent plus rapidement, plus fortement et plus bêtement encore, que les loups communistes ne hurlent. Ainsi, si les crimes nazis sont toujours joyeusement commémorés un peu partout, la communiste Buffet s’est-elle récemment indignée de la proposition du Conseil de l’Europe, dont c’est pourtant le rôle, d’instaurer une journée du souvenir pour les victimes du communisme, qui eût mis ce dernier à égalité avec le fascisme universellement exécré.
Quelle gifle aux habitants des nouveaux pays européens qui ont été martyrisés par les brutes communistes pendant des décennies ! Quel déni de justice ! Mais ce déni est logique pour les rouges. La communiste Buffet pense que son système est intrinsèquement bon, et que le stalinisme en constitue une déviation regrettable. Dit-on de même et impunément que le fascisme est l’avenir de l’homme même si sa lecture nationale-socialiste et l’expérience hitlérienne n’en constituent qu’un fâcheux (facho) contre-exemple, malheureux certes, mais une exception nécessaire (en bonne grammaire) pour affermir la règle ?
Les premiers gazages de civils dans l’histoire humaine, et les premiers camps de concentration et d’extermination on été mis en place sous la dictature du communiste Oulianov dit Lénine… Et une idéologie qui commence par stigmatiser la lutte des classes (sa seule grille de lecture des conflits historiques), pour y remédier par la dictature du Prolétariat en massacrant au passage popes, bourgeois et koulaks - 8 millions de koulaks ukrainiens génocidés -, ressemble par trop à une autre, qui commence par stigmatiser la lutte des races (sa seule grille de lecture des conflits historiques), pour y remédier par la dictature des Aryens en massacrant au passage capitalistes, Juifs et Tsiganes… 
Staline pire qu’Hitler ? Non, Hitler égal à Staline car il en fut l’émule ! Ou plutôt, Hitler supérieur à Lénine mais moins grand que Mao… 
“We killed the wrong pig” avait déclaré Winston Churchill… Parfois cette citation si « bocage anglais » qu’on se croirait dans Babe, est mal comprise, et pourtant notre homme était véritablement au-dessus de tout soupçon démocratique, sinon alcoologique ! Winston notre héros, entre deux cigares, ne voulait pas dire qu’il ne fallait pas niquer les nazis, mais baiser les stals en même temps. 
Continuer à tuer ce qui reste du deuxième cochon, en déportant s’il le faut le lot nécessaire de maîcresses simplettes vers les destinations exotiques dont elles rêvent, créer des camps de vacances en Casamance pour les collabos gauchistes que nous finiront bien par vaincre, voilà le programme que le Parti Démocrate propose à ses militants à l’horizon 2007. 
Quelques « détails » des exactions communistes sur l’excellente page suivante :

http://orthodoxeurope.org/page/13/2.aspx

… où l’on peut lire par exemple : 

" (...) Aleksander Jakovlev, Président de la Commission pour la réhabilitation des victimes des répressions politiques, a communiqué en 1995 le chiffre approximatif de deux cent mille membres du clergé orthodoxe condamnés à mort entre 1917 et 1980. Quasiment tous les prêtres et les religieux ordonnés avant ou après la Révolution furent soumis à des persécutions. Pendant les seules années 1937 et 1938, 165 100 prêtres orthodoxes furent arrêtés, dont 105 000 furent fusillés. Plus de trois cents évêques orthodoxes furent victimes de mesures répressives, et plus de deux cent cinquante furent mis à mort ou moururent au cours de leur détention. Ce ne sont là que des chiffres approximatifs qui demandent à être précisés, mais ils suggèrent l’idée d’une persécution en masse.
Nous connaissons l’état de l’Église russe avant la Révolution. Son dernier annuaire fut publié en 1916 : il faisait état de 147 évêques, 117 915 membres du clergé, 21 330 moines et 73 299 moniales. Parmi les membres du clergé, il indiquait les archiprêtres, les prêtres, les diacres et les psalomchtchiki [ordres mineurs jusqu'à hypodiacre dont le nombre dépassait 45 000]. Les monastères masculins étaient au nombre de 478, ceux féminins au nombre de 547. Au cours de l’année 1917, à la suite d’une série de transferts et de nominations, le nombre des évêques orthodoxes passa à 172, plus six au repos. Telles étaient les dimensions de l’Église orthodoxe sur laquelle s’abattit la persécution. Pospelovski calcule que près de trois cents évêques russes appartenant à diverses obédiences orthodoxes auraient été tués sous le pouvoir communiste, tandis que dans le clergé le nombre des assassinats dépasserait 50 000, sans compter les moines et les moniales. Selon la Commission pour la réhabilitation créée par le Patriarche de Moscou, 350 000 personnes ont subi la répression pour des motifs religieux jusqu’en 1941. Parmi elles, 150 000 furent arrêtées au cours de l’année 1937, parmi lesquelles 80 000 furent fusillées. L’Institut théologique orthodoxe Saint-Tikhon de Moscou a, de son côté, créé un groupe de travail sur les nouveaux martyrs qui a recueilli plus de dix mille noms de victimes, avec leur histoire. Le nombre des évêques tués ou morts en prison serait supérieur à deux cent cinquante. Au moment de l’invasion allemande de l’URSS, il n’en restait que quatre en activité sur tout le territoire soviétique. Selon l’Institut Saint-Tikhon, le nombre des chrétiens orthodoxes tués pour la foi serait compris entre cinq cent mille et un million
En Russie, s’est produit un véritable massacre de chrétiens. Les chiffres les plus surs sont ceux du clergé, dont on connaît mieux l’histoire. Mais le massacre des chrétiens ne se limite pas, tant s’en faut, aux membres du clergé. Bien souvent aussi, les victimes ont été des laïcs dont on ignore jusqu’an le nom ; certains faisaient partie des conseils paroissiaux ou des « vingtaines » (groupe requis par la législation soviétique pour obtenir l’usage d’un édifice religieux) et cherchaient à maintenir l’église en fonction ; d’autres s’opposaient à la confiscation des objets de culte, à la fermeture des temples ou à la campagne de confiscation des cloches. C’étaient parfois des membres de la famille, femme, enfants, parents du clerc marié, qui partageaient le sort inexorable des prêtres, mis en marge de la société soviétique comme parasites et accablés d’impôts. D’autre fois, il s’agissait seulement de laïcs qui étaient mêlés au destin de leur « père spirituel ». La persécution des chrétiens en Russie fut un martyre en masse qui frappa des centaines de milliers de croyants dans tout le pays.
Un des lieux où les chrétiens de Russie connurent les plus grandes souffrances furent les îles Solovki, sur la Mer Blanche. Ce camp de concentration constitue, en un certain sens, l’alma mater des camps soviétiques, comme l’écrit Brodsky. Ce fut un des « calvaires » pour tant d’internés. Ce camp fut créé dans un monastère édifié au XVe siècle sur l’un des îles de l’archipel. Cet ensemble monastique, qui avait été un des grands centres spirituels de l’orthodoxie russe, devint l’un des lieux de martyre les plus effroyables. Ce lieu, qui parlait de Dieu par ses églises et ses chapelles, mais aussi par l’harmonie existante entre l’œuvre des moines et la nature, connut une destination tragique. La profanation d’un sanctuaire, but des pèlerinages en provenance de toute la Russie, fut l’un aspect de l’histoire de ce camp, comme s’il voulait signifier la suprématie absolue du nouvel État soviétique sur le passé. La règle de la violence et de la coercition semblait remplacer l’ordre monastique. (...) " 

Ah, ce genre de lecture curieusement absent des manuels scolaires de l’Education Nationale, remet les pendules à l’heure place du colonel Fabien… même si par comparaison avec les chiffres déjà publiés sur ce blog des estimations de la période de Goritchéva sont soumis par les historiens russes à un furieux révisionnisme.

 

 

    

   PARTI DÉMOCRATE.
    POUR UN GAUSCISME PRAGMATIQUE
    
& UN FASCISME À VISAGE HUMAIN !

 

 

 

Publié dans apono11

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M
"créer des camps de vacances en Casamance pour les collabos gauchistes que nous finiront bien par vaincre"alors la eh ben ya fautte d'aurtograffe et je suit abituéé à an détequeté cé mon métiers lol mdrrrrrrrrrrr
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