STICK, WHIP & COLLEGE
BOUYGUES TV & MAÎCRESSE DOMINA SE LÂCHENT !
Sous le titre fort peu raccoleur de "L'institutrice ficelle et fesse" créé sur le site de LCI le 12 mai 2006, voici ce qui se passe dans les écoles des provinces de France :
"La charge du procureur contre l'institutrice de Peymeinade a été cinglante. "Etre sévère, ce n'est pas être violent", s'est indigné Thierry Bonifay. "Les parents lui confient la prunelle de leurs yeux, ce n'est pas pour les retrouver fessés et ficelés", a-t-il asséné, tout en réclamant une peine de quatre à six mois de prison avec sursis assortie d'une interdiction définitive d'exercer une activité en rapport avec les enfants.
L'enseignante en maternelle a reconnu avoir corrigé sévèrement un garçon de cinq ans. Elle a été jusqu'à l'attacher sur sa chaise à l'aide d'une cordelette après lui avoir administré quelques fessées. "Un malheureux dérapage", a tenté de minimiser la défense, quand l'avocat des parents dénonçait le côté "humiliant" de la punition. Après s'être étonné de la présence dans la classe d'une cordelette, le tribunal correctionnel de Grasse a prononcé une condamnation de trois mois de prison avec sursis et une interdiction d'exercice de 18 mois."
Et une autre perle dénichée dans le forum consacré au sujet, d'un lecteur londonien, contaminé par les pratiques pédagogiques ancestrales de la perfide Albion, qui croit utile de mettre les points sur les "i" :
"Artticle (sic) Fessee + explication de la fessee = oui mais non à la cordelette ou au martinet. Clairement une femme qui ne sait ni enseigner, ni prendre en charge des enfants. Il faut respecter une juste proportion. Cedric, Londres". Les britanniques, bout de ficelle, selle de cheval !